Le prix à payer
Dès la création du capitalisme impérialiste
L'Homme blanc aura conquis les droits simplistes
De piller la terre des barbares en échange de sa foi
Et violer les libertés grâce aux lois divines de sa démocratie
L'avènement de la technologie nous rappelle les cruautés
Faites en notre nom, dans notre éternelle quête de sécurité
La politique publique est de dénoncer le terrorisme
En bombardant les contrées éloignées, de toute notre supériorité
Après des décennies de vol, de bombes et de génocides
Commanditées par les poches des exportateurs sans moralité
Les réfugiés du colonialisme ethnique tentent de traverser
Le fleuve de pétrole séparant la guerre et le voile de l'ignorance
En bons paysans, nous avons les yeux rivés sur nos écrans
Sur les passeurs traversant le Styx de notre médiocrité
Couleur noire cendrée par toutes les calamités
Faites en notre nom, dans la quête de notre sacro-sainte liberté
Aucune loi ne permet la chance à ces braves combattants
Le droit d'asile dans notre cité d'âmes perdues
Obnubilées par le meurtre d'un lion aux mains d'un dentiste
Et gentiment outragées par les photos d'enfants noyés
Nous verserons des larmes, l'instant d'un moment
Nous nous rappellerons à quel point nous aimons notre "liberté"
Nous crierons justice dans nos médias posturalistes
Et nous oublierons peu à peu, au profit des élections de notre absurdité
Le prix à payer pour toute la haine de l'Homme blanc
C'est d'être assiégé par les hordes de familles en quête d'un rêve
Même si nous sommes conscient que notre liberté est emmurée
Ils la préféreront tous à leur réalité
Dès la création du capitalisme impérialiste
L'Homme blanc aura conquis les droits simplistes
De piller la terre des barbares en échange de sa foi
Et violer les libertés grâce aux lois divines de sa démocratie
L'avènement de la technologie nous rappelle les cruautés
Faites en notre nom, dans notre éternelle quête de sécurité
La politique publique est de dénoncer le terrorisme
En bombardant les contrées éloignées, de toute notre supériorité
Après des décennies de vol, de bombes et de génocides
Commanditées par les poches des exportateurs sans moralité
Les réfugiés du colonialisme ethnique tentent de traverser
Le fleuve de pétrole séparant la guerre et le voile de l'ignorance
En bons paysans, nous avons les yeux rivés sur nos écrans
Sur les passeurs traversant le Styx de notre médiocrité
Couleur noire cendrée par toutes les calamités
Faites en notre nom, dans la quête de notre sacro-sainte liberté
Aucune loi ne permet la chance à ces braves combattants
Le droit d'asile dans notre cité d'âmes perdues
Obnubilées par le meurtre d'un lion aux mains d'un dentiste
Et gentiment outragées par les photos d'enfants noyés
Nous verserons des larmes, l'instant d'un moment
Nous nous rappellerons à quel point nous aimons notre "liberté"
Nous crierons justice dans nos médias posturalistes
Et nous oublierons peu à peu, au profit des élections de notre absurdité
Le prix à payer pour toute la haine de l'Homme blanc
C'est d'être assiégé par les hordes de familles en quête d'un rêve
Même si nous sommes conscient que notre liberté est emmurée
Ils la préféreront tous à leur réalité
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RépondreSupprimerVérité inexpugnable...? Inexplicable..